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De nos jours, on pourrait croire que tout est normal, seulement dans l’obscurité grandit une ombre, celle d’une créature que l’on ne côtoie normalement que dans les contes et les légendes. Pourtant, la vérité est tout autre et n'est pas celle que l'on se persuade de croire. Depuis la nuit des temps, des créatures ressemblant trait pour trait aux humains, mais qui se nourrissent de sang et qui semblent dotées de capacités inhumaines, vivent parmi nous ; les vampires.
À travers les âges, différents évènements ont pris place et ont créé l’histoire que vous pourrez découvrir en allant lire la chronologie de Mihara. Celle-ci est importante pour comprendre les lois maintenant imposées à chacun, et les batailles que tous ont mené pour obtenir une paix commune et un secret bien gardé.
En ce qui concerne le présent, nous sommes en 2022, dans la ville de Mihara [Kyūshū] (ville fictive) au Japon. Afin de commencer votre histoire ici-même, deux choix s’offrent à vous : celui d’incarner un humain ou bien un vampire. Lorsque votre décision sera prise, vous avez différents groupes qui permettent de créer plus de diversités au sein du forum. Vous pourrez tous les découvrir en lisant l’explicatif des groupes.   PRINTEMPS 2023période inrp 27 aoû
2023Veuillez lire ce sujet pour voir l'annonce de la fermeture du forum. Celui-ci reste existant pour permettre à ceux qui le souhaitent de poursuivre les liens et rps avec les membres encore présents.02 fév
2023Un recensement est en cours à partir d'aujourd'hui, il se termine le 9 avril à 23h59. Celui est obligatoire, vous pouvez le trouver sur ce sujet.02 fév
2023Dès aujourd'hui et pour une période indéterminée, nous préférons refuser les feat pour vos avatars avec des cheveux blancs, si ceux-ci sont justifiés par autre chose qu'une coloration. Merci de votre compréhension et coopération.26 dec
2022Noël est passé, l'event est terminé, les mps envoyés, pensez à laisser un petit mot sur ce sujet, de bonnes fêtes à vous ♡22 dec
2022Déjà un mois depuis l'ouverture, pour votre plus grand plaisir, l'édition du Mihamag fait son retour, vous pouvez la lire sur ce sujet, bonne lecture à vous ♡22 nov
2022Après deux ans d'absence, Mihara vous ouvre, une nouvelle fois, ses portes ! Lisez l'annonce qui vous expliquera tout !  Kaiko Iwata Erika Anderson Guanyin Guo Shino Aruka Eri Shibata Kanju Onari Lei Ouyang Callum Dunham
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| 》Spencer
〉Shalott Paloma A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto 27yo [04/1995] américaine c'est la hess shibuya elle (féminin) lesbienne journaliste web 1.76 +/- 70kg cheveux longs, blonds à l'origine yeux bleus tatouée ex-cen-tri-que Informations supplémentaires : ECRIRE ICI LES INFOS EN PLUS SI VOUS EN AVEZ BESOIN  》Caractère Tu traînes les pieds, épuisée, tes yeux gonflés peinant à distinguer sur le parking la Subaru R1 grise sur laquelle la lumière des lampadaires ricoche. Bordel ce que c'est laid comme bagnole., est tout ce qui te vient à l'esprit alors qu'enfin, après avoir erré quelques minutes, tu repères le capot ovoïde du véhicule. Pas envie de monter dedans. Tu t'adosses nonchalamment contre la portière avant, côté conducteur, et fourre presque machinalement une main fébrile dans la poche de ton trench coat à la recherche de cette texture cartonnée, plastique, qu'est celle de ton paquet de cigarettes. Un soupir, suivi de près par un râle alors que, vite agacée de l'absence dudit paquet tu te mets à tapoter frénétiquement sur ton manteau, assez fort pour être convaincue de pouvoir aussi sentir l'espace de chaque couche de vêtements à poches que tu portes. Et enfin, alors que tu te redresses, tu siffles un juron épicé au fait de t'être presque assise sur le malheureux revenant. En extirpant celui-ci de la poche arrière de ton jean, tu le hisse vers la lumière, là où tu peux le voir, et constate les dégâts. Sans plus de procédure, pourtant, tu soulèves bien vite le clapet et te saisis d'une cigarette que, sans allumer, tu viens pincer de tes lèvres, te distrayant pensivement du balancement vers le haut et vers le bas que tes lippes montant et descendant appliquent sur le bâtonnet roulé.
Un instant tu fermes les paupières, dérangée par les lumières vives qui te percent la rétine. Depuis combien de temps n'es-tu plus sortie ? Tu ne saurais pas vraiment le dire, tu as arrêté de compter les jours. Ces même jours qui se ressemblent et se confondent tous les uns avec les autres, se mélangeant jusqu'à ce que le calendrier ne te paraisse plus que comme une calculatrice partant de 1 et s'arrêtant au bout de la page. Tellement de jours, et pourtant toujours rien. Pas la moindre piste concluante à suivre. Tes dents viennent grignoter le filtre, tes lèvres s'entre-ouvrant sur un énième soupir désabusé. A ce rythme-là, je trouverai jamais rien. Et pourtant tu ne peux pas te résoudre à simplement lâcher l'affaire, jeter le torchon et te convaincre qu'il faut faire son deuil. La simple pensée extirpe de ta gorge un nouveau juron, et tu baisses la tête, probablement soucieuse qu'un fantôme en passant ne puisse voir tes mirettes scintiller des larmes s'y attroupant. Ton père a déjà abandonné. Et ta mère s'en fout. Mais toi... Toi c'est autre chose, n'est-ce pas ? Tu ne peux pas te résoudre à faire ce deuil dont tout le peu de monde qui te parle encore se sert comme d'un bouclier face à la tristesse. Comment faire son deuil, sans corps ? Sans savoir ce qu'il s'est passé ? Les larmes débordent, semant des sillons salés sur tes joues poudrées. Bientôt, le sel se mélange à ton mascara et, en insultant tous les dieux dont tu connais les noms, tu viens essuyer ton visage d'un revers furieux de poing fermé.
Tu me fais chier. Vraiment chier. T'es où, bon sang ?, est la supplique que tu te murmures, dans l'espoir toujours terrassé par la vérité qu'elle pourrait te répondre. Elle n'est pas là. Et son absence te pèse tellement, tellement plus que tu n'aurais jamais pu l'imaginer. Le goût de la culpabilité fait tomber dans ton estomac une boule de rage, de désespoir, dont tu ne sais pas quoi faire. Tu aurais dû être là, y aller avec elle ou au moins la convaincre de laisser tomber son idée à la con. Tu savais dès le début que ça sentait le moisi, mais tu n'as pas réussi à outrepasser ta propre fainéantise. Et maintenant, regarde-toi : Le fantôme, c'est toi. Tu erres, de jour comme de nuit, tu parcours les alentours et cherche de fond en comble quoi que ce soit qui puisse te rapprocher d'elle, le moindre indice. Ta tête se relève, ta mâchoire serrée, et tu jettes le regard à travers la vitre de cette keijidōsha de misère. Des gobelets de café et des boîtes de plats à manger sur le coude, des feuilles éparpillées, des vêtements jetés à la va-vite sur le siège passager et pour beaucoup scintillant de palettes de fards à paupière renversées. Tu vis dans cette horreur sur roues. Pas le temps, pas le choix non plus, tellement mieux à faire que de te soucier d'avoir un véhicule décent. Tant que ça roule, ça fait son job. Mais qu'est-ce que c'est laid, quand même, toi-même tu le sais et parfois ça t'effares, ça te déprime. Surtout la nuit, quand il faut y revenir, coucher la banquette arrière sur elle-même pour créer ce minable espace coffre dans lequel tu dors roulée en boule comme un hérisson en danger.
Tu paies la location d'un appartement, c'est ça le comble de l'ironie. Mais tu refuses d'y retourner tous les soirs, toujours en train de te rendre malade à l'idée d'être loin de ton moyen de locomotion si jamais quoi que ce soit venait à se produire. Même lorsque tu rentres, balances tes affaires sales et en attrape des propres, prends une douche, tu files comme l'éclair. Un éclair accompagné d'une tornade, dont tu ne saurais pas évaluer les dégâts : sous forme d'affaires retournées partout dans ledit appartement, et sous la forme d'épée de Damoclès qu'est ce tableau en liège sur lequel tu as épinglé tout le peu d'informations que tu as réussi à glaner jusque là. Au marqueur rouge tu as dessiné des flèches, dans tous les sens, entouré ce qui t'as paru important, mais toutes les rues dans cette affaire ne mène pas à Rome : Rien n'est facile, et beaucoup de flèches finissent perdues dans le néant le plus total. La frustration joue avec ta patience, ton naturel à l'origine désintéressé des choses qui ne te sont pas utiles. Ici, tout te semble être un élément, et tu vas jusqu'à franchir de nombreuses lignes pour obtenir les clés de la porte verrouillée de ce mystère. Bavarde, curieuse jusqu'à en devenir intrusive, tu fourres ton nez partout où celui-ci peut passer : les informations dont tu n'as personnellement pas besoin se revendront autre part, et l'argent te servira toujours à acheter du nouveau matériel, à payer l'essence, parfois même à acheter d'autres informations... D'autres fois encore à noyer le poisson, effacer tes traces, préserver le pouvoir de ta carte de presse mise à rude épreuve parce qu'utilisée à outrance.
Une bourrasque hérisse les poils de ta nuque, découverte, faisant glisser sur celle-ci quelques mèches vagabondes. Les larmes ont arrêté de couler, et même si le cocktail de celles-ci et du mascara te brûle encore la paupière inférieure, tu as la vague impression de te sentir un peu mieux. Ce n'est pas vraiment ton genre de te laisser aller à de grands déballages émotionnels, mais chialer un bon coup de temps à autres a, tu l'as vite constaté, la qualité de t'aider à tenir le coup. Il faut dire que jeter tant de coups d'épée dans l'eau, ça éclabousse forcément. En haussant les épaules pour toi-même, tu te retournes et viens ouvrir la portière qui soutenait tout le poids de ton découragement jusque là. La banquette arrière est encore couchée, tu n'as pas pris la peine de la relever la veille, et tu couches donc simplement ton siège pour venir te glisser dans cette cavité plongée dans une obscurité à peine déranger par les lumières aux alentours. La porte refermée, verrouillée, le siège avant remit à sa place, tu attrapes ta vieille couverture rêche et la hisse sur ton corps. Pas la peine de te déshabiller, pas la peine de te démaquiller : tu t'occuperas probablement de ça demain. Ou alors ces éléments resteront suspendus dans l'air, comme le "souci" toujours ignoré de la poudre de tes teintures imprégnée dans le tissu crème du coussin sur lequel tu reposes ta tête. [U.C]》Histoire ECRIRE ICI VOTRE HISTOIREAvatar JoJo's bizarre adventure > Jolyne Cujoh > Shalott P. Spencer
Vos pronoms tout ce que vous voudrez
Avis sur le forum très jolie couleur lavande
Autre chose à dire ciao ♡ |
| |  10/1/2023, 10:49 | | messages : 17 âge : 26 ans liens importants : story × | Bonjour à toi et bienvenue chez nous !!
Je passe très rapidement pour te lancer les dés, bonne change à toi =D |
| | | 10/1/2023, 11:26 | | | Le membre ' Rajan Kinozuke' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
#1 'Groupe humain' :  -------------------------------- #2 'Niv. d'influence' :  |
| | | 10/1/2023, 11:26 | | | Bienvenue par ici  Bon courage pour ta fiche  |
| | | 11/1/2023, 11:48 | | |  Eh oh ! Est-ce qu'il y a quelqu'un ?!Première relancePour rappel, le délai pour terminer sa fiche, une fois celle-ci postée, est de deux semaines. Un délai supplémentaire est accordé si la demande est faite ici-même. De ce fait, si tu ne souhaites pas voir ton compte supprimé le 25/01, il faut que tu te manifestes rapidement. Bon courage !
Les membres du staff. |
| | | 23/1/2023, 17:08 | | | | | | |
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